SOYONS – Salle des Fêtes
Samedi 5 Octobre 20h30
La « flamme » ne s’éteint pas !
Les Musicales de Soyons en Ballade ont la joie de vous convier au récital que donnera le Quatuor Caliente : Tango Nuevo.
Lysandre Donoso au Bandonéon, Michel Berrier au Violon, Eric Chalan à la Contrebasse et Cédric Lorel au piano vont porter la lumière et sa joie.
Concert « Joie et Lumière : COULEURS TANGO – Quatuor CALIENTE »
05 Octobre 2024 – Soyons
L'ASSOCIATION
Depuis 2003 :
Un pari : La musique classique au cœur de nos villages et de nos villes.
Partager, toutes générations confondues, la joie de ce lien transversal, de cet art majeur, qui nous tire vers le haut, vers le beau.
Une exigence : Une très grande qualité de programmation.
Une volonté : toucher un large public. C’est gratuit pour les moins de 18 ans !
Un soutien sans faille : Celui de nos municipalités, de la communauté de communes Rhône-Crussol, du département, de la région, de nos partenaires privés et tout récemment du Crédit Social des Fonctionnaires. Merci de tout cœur pour leur générosité.
Une Volonté de transmettre cette culture : Partenariat prometteur noué depuis cette année 2019 avec l’association nationale des Concerts de Poche : notre premier invité Abdel Rahman El Bacha !
Un site : Tapez simplement « Musicales de Soyons en Ballade » et inscrivez-vous pour recevoir nos programmes !
France Clidat, Anne Queffélec, Claire Désert, Dana Ciocarli, Emmanuelle Bertrand, Marianne Piketty, Maud Hertz, Marielle Nordmann, Yoshimi Vadrot, Anne Sila, Julie Dessay, Carmen Martinez, Brigitte Fossey…
Miguel Angel Estrella, Jean-Marc Luisada, Jean-Philippe Collard, Pascal Amoyel, Abdel Rahman El Bacha, David Bismuth, François René Duchâble, Gaspard Dehaene, Adrien Boisseau, Alain Carré,
Emmanuel Strosser, Pierre-Laurent Boucharlat, Bernard Commandeur, Didier Vadrot, David Moreau…
Le trio George Sand, le Trio Prométhée, le quatuor Goldoni,
O-Celli…
La Garde Républicaine, L’Orchestre de Bryansk, l’Orchestre philharmonique de Varsovie, le chœur Artémus…
Et depuis 2019, les Concerts de Poche …
Vous remercient de votre visite…
A très bientôt !
Philippe Cochin
Président
Viviane Rageau : premier Violon
Chantal Cousseau : premier Alto
Bernard Cerantola : chef de Maitrise
PS : Comme toute association, nous recherchons « exécutants » susceptibles de venir s’accorder avec nous, pour que nous continuions à écrire, ensemble, une belle partition…
Ayez-aussi à cœur de donner le « la » en participant à la diffusion de nos informations…
Merci +++
LES ARTISTES
Né à Beyrouth en 1958, Abdel Rahman El Bacha interprète à dix ans en public le Concerto en ré mineur de Bach. Il étudie ensuite au Conservatoire de Paris, qu’il quitte en 1977 en remportant les quatre premiers prix. Sa victoire au concours Reine-Élisabeth de Bruxelles en 1978 marque le début d’une grande carrière internationale. Naturalisé français en 1981, il interprète l’intégralité des sonates de Beethoven à Berlin durant la saison 1993/94. Sa notoriété tient notamment aux CD qu’il a enregistrés. Citons en particulier l’intégrale des œuvres pour piano de Chopin (Forlane), la première partie du Clavier bien tempéré de Bach (Triton), un CD avec des œuvres de Prokofiev et l’intégrale des sonates pour piano de Beethoven, ces deux derniers enregistrements publiés chez Mirare étant réalisés sur un piano à queue de concert C. Bechstein D 282. Abdel Rahman El Bacha, qui a déclaré dans une interview : « J’ai toujours aimé Bechstein pour son intériorité, sa voix douce et chantante», enseigne actuellement au collège Reine-Élisabeth de Bruxelles.
Nationalité : France
Né(e) à : Tourcoing , le 15/06/1946
Biographie :
Brigitte Fossey est une actrice française née le 15 juin 1946 à Tourcoing.
Sa carrière débute alors qu’elle n’a que cinq ans, avec le rôle de Paulette dans le film Jeux interdits réalisé par René Clément. Le succès est tel qu’elle est même présentée à la reine Élisabeth II d’Angleterre.
Avec ses rôles dans les années 1970 (L’Ironie du sort, La Brigade, Les valseuses, Calmos, Les Fleurs du miel, Le Pays bleu, L’Homme qui aimait les femmes), elle fut l’une des grandes vedettes de sa génération.
En 1980, elle a un grand succès dans le rôle de Françoise Beretton, la douce mère de Sophie Marceau dans La Boum. Ce film est suivi par La Boum 2 en 1982.
Elle a joué dans de nombreuses pièces de théâtre et connu le succès à la télévision grâce à deux sagas importantes : Les Gens de Mogador et Le Château des oliviers, pour lequel elle obtint le 7 d’or de la meilleure actrice en 1994. Brigitte Fossey soutient les actions d’ATD Quart Monde contre la pauvreté. Elle a notamment participé a la réalisation d’un disque « Parole pour demain » en mai 2000
Virtuose du clavier, vagabond dans l’âme, ce pianiste de renommée internationale encouragé en 1973 par Arthur Rubinstein à se lancer dans une carrière de soliste, s’est délivré des parcours obligés.
Trente années de concerts dans les temples de la musique lui ont valu la reconnaissance du public, celle de prestigieux chefs d’orchestre comme Karajan, Herreweghe, Sawallisch, Svetlanov, Janowski, Plasson, Dutoit, Casadessus, Lombard, Gardiner… et de nombreuses distinctions musicales pour les « Vingt-quatre Etudes » de Chopin, les « Douze Etudes Transcendantes » de Liszt, les Sonates de Beethoven, les concertos de Ravel, sans oublier la parution du DVD consacré aux cinq concertos de Beethoven qui lui valut à nouveau Les Victoires de la musique en 2004.
Aujourd’hui, le besoin capital de vivre libre lui offre de nouvelles perspectives en considérant davantage la musique comme un plaisir à partager. Le choix de ses partenaires, son goût irrésistible pour le plein air et son penchant pour l’insolite, l’amènent à jouer dans des lieux souvent inattendus où la musique s’intègre à l’environnement d’un glacier, d’une grotte, d’un lac ou d’une place de village…
Pour combler son imaginaire, il aime s’entourer de la magie des feux d’artifice (de Jean-Eric Ougier) – inventeur du « pyroconcert » ! – savourer sur scène la complicité de danseurs, d’acrobates, de jongleurs ou de sportifs d’un jour, désireux d’offrir à un public de tous horizons un spectacle de musique plutôt qu’un concert.
C’est ainsi qu’il forme avec Alain Carré, comédien, un duo incontournable : plus de 100 créations au répertoire: « Rimbaud, Vole
ur de feu » -« Histoire de ma vie » H. Berlioz – « Le Roman de Venise » Sand, Musset,.Chopin – « l’Apocalypse de Saint Jean » – « La Nuit Obscure » – « Voyage dans la Lune » -« Les Lettres de Mon Moulin » d’A.Daudet- « paroles et Musique » J.Prévert – « Ego Hugo », sur autant de musiques de Jean-Sébastien Bach à Maurice Ravel en passant par les grands compositeurs de l’âme romantique.
Le tournant de 2003
En 1998, au moment où je jouais les concertos de Beethoven au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, j’ai pris conscience que je voulais quitter la carrière de soliste international telle que je l’avais pratiquée jusque là. Je me suis alors donné 5 ans pour terminer mes engagements en cours, notamment l’enregistrement des concertos de Beethoven en DVD multimédia avec le chef John Nelson et l’Ensemble orchestral de Paris, à l’Opéra royal de Versailles.
En juillet 2003, j’ai donc décidé de mettre un terme à trente ans de carrière de concertiste (1973-2003), vécus comme trente ans d’une vie professionnelle qui ne me correspondait pas. Et pour en marquer le point final, je ressentais le besoin profond d’un rituel de purification.
C’est ainsi que je choisis, symboliquement, de faire déposer délicatement par hélicoptère (et non « jeter ») un vieux piano acheté chez un accordeur (et non mon propre piano) au milieu du petit lac de la Colmiane-Valdeblore dans l’arrière-pays niçois (et non dans le lac d’Annecy). Ce piano immergé a ensuite été sorti de l’eau pour devenir une magnifique sculpture, juchée à 1400 mètres d’altitude.
Ce cérémonial nécessaire pour moi devait être parfaitement privé.
Or c’est parce qu’il coïncidait avec l’opération de promotion du DVD de l’intégrale des concertos de Beethoven, qu’il s’est retrouvé, à mon corps défendant, sous les feux médiatiques ! Qui se sont enflammés !… et ont mal interprété ma démarche en me forgeant une image, non pas de sage qui se retire de la carrière internationale, mais de pianiste excentrique qui se met en scène.
Tout le contraire de la réalité, c’est pourquoi je fais aujourd’hui cette mise au point.
Cinq raisons principales m’ont fait souhaiter en finir avec ce « circuit » classique : les voyages internationaux, qui m’étaient pénibles ; les répétitions, qui m’ennuyaient ; les lumières traditionnelles des salles de concert, trop froides ; le public de la musique classique, souvent élitiste et limité aux spécialistes et enfin les studios d’enregistrement. A 51 ans, il était temps pour ma santé et pour mon bonheur que je commence à respirer et à vivre.
Comme je l’avais indiqué dans les interviews de l’époque, je n’ai pas pour autant arrêté de jouer en public, bien au contraire, puisque j’ai fait plus de 600 apparitions sur scène depuis 2003, mais voulant désormais intégrer le piano dans de nouvelles formes de spectacles – principalement avec le comédien Alain Carré – reliant musique et littérature à travers des récits historiques, d’écrivains, de poètes ou de compositeurs (plus d’une centaine de créations à ce jour).
J’aime jouer en plein air, dans la nature, ou dans des lieux insolites (notamment sur l’eau), en intégrant des éléments visuels ou vivants comme des soirées équestres, ou des mises en lumière audacieuses incluant des projections ou des feux d’artifice. Ces formules peuvent aussi se donner dans des salles traditionnelles.
En résumé, je suis aujourd’hui pleinement en accord avec moi-même. Le piano est devenu pour moi un navire magnifique, où j’essaie de conduire les auditeurs qui veulent bien me suivre dans une expérience forte et un plaisir musical que je souhaite intense.
François-René Duchâble
Plus d’info : http://www.francois-rene-duchable.fr
Comédien et Metteur en scène
Directeur artistique du Festival des Lumières à Montmorillon (France)
Directeur artistique du Festival de Théâtre AUTOUR DE MADAME DE STAËL au château de COPPET (Suisse)
C’est une invitation au voyage des mots, un espace unique entre poésie et théâtralité. Comédien-metteur en scène, ce troubadour du verbe réalise un parcours ambitieux: prouver que l’art de dire est aussi un art de scène. Deux cents prestations par an en Belgique, en Suisse, en France surtout, mais aussi en Allemagne, en Pologne, au Maroc, en Israël, au Brésil, en Espagne…
Homme de défis, il a relevé ceux de mettre en scène et d’interpréter La Chanson de Roland, Le Testament de François Villon, l’œuvre intégrale d’Arthur Rimbaud, Les Lettres à un Jeune Poète de R.M. Rilke, les chansons de Jacques Brel, Le Journal d’un génie de Salvador Dali, Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche, Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire…
Au théâtre, il met en scène Amélie Nothomb, Eric Emmanuel Schmitt, Pierre Corneille, Alfred Jarry, Marguerite Duras, Alfred de Musset, Joseph Vebret, Molière…
La musique le fascine. Il l’intègre dans la plupart de ses spectacles. Ses rencontres avec Jean-Claude Malgoire, Gabriel Garrido, le Café Zimmermann (Pablo Valetti et Céline Frisch), les Paladins (Jérôme Corréas) le conduisent à la mise en scène d’opéras qu’il aborde avec passion. Il crée des spectacles où le texte se mêle à la musique avec les quatuors Ludwig, Manfred, Parisii, Psophos… En tant que récitant avec orchestre, il assure la création française d’Axion Esti de M. Theodorakis avec l’orchestre de la Suisse Romande. Il travaille sous la direction de John Nelson (Orchestre de Paris -Théâtre des Champs-Elysées), Charles Dutoit (Orchestre de la Suisse Romade et Orchestre de la Tonhalle de Zürich), Yan Pascal Tortelier (Orchestre de Paris – Théâtre des Champs-Elysées)…
Depuis deux ans, il partage régulièrement la scène avec Brigitte Fossey.
Mais un de ses plus grands frissons réside dans les spectacles inattendus qu’il monte avec le pianiste François-René Duchâble. Une soixantaine de créations à leur répertoire dont l’écriture est entièrement réalisée par ses soins !
Il publie « Jan Van de Driessche – peintre » (épuisé), participe à de nombreuses publications aux éditions Racines, Outre-Part,…
En tant que professeur, il a donné trente années de formation pour acteurs professionnels à Bruxelles, Mons, Liège, Annecy et Genève. Il a assuré la direction artistique du Théâtre Les Salons de Genève de 2010 à 2012. Actuellement, il se consacre exclusivement à ses tournées et à l’écriture (livret d’un opéra « Ainsi parlait Zarathoustra » ayant reçu le soutien de la Fondation Beaumarchais-SACD – Paris avec le compositeur Sophie Lacaze et une pièce de théâtre « La Poule de charme »).
Pierre-Laurent Boucharlat a joué son premier concerto avec orchestre à l’âge de 13 ans, et donné son premier récital à l’âge de 15 ans.
Après son Prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, Pierre-Laurent Boucharlat est admis à l’unanimité en Troisième Cycle à Paris.
Lauréat de concours internationaux (Prix Spedidam, Prix Darius Milhaud), il est depuis lors invité à se produire dans de nombreux festivals, en France et à l’étranger.
En septembre 2000, son enregistrement « live » de l’intégrale des 24 Etudes de Frédéric Chopin, incorporé à la revue nationale Piano le Magazine, est unanimement salué par la critique.
On peut l’entendre régulièrement en récital, ou en tant que soliste, notamment avec l’Harmonie de la Garde Républicaine, l’Orchestre du CNSMD de Lyon, l’Orchestre symphonique de Briansk (Russie), l’Orchestre OSIDEM de Morelia (Mexique), l’Orchestre symphonique de Krasnoyarsk (Russie), l’Orchestre de chambre de Toulouse, l’Ensemble orchestral Artemus, l’Ensemble orchestral La Camerata du Rhône…
De même, il se produit dans le cadre de formations de musique de chambre, notamment l’Ensemble Prométhée, ensemble qu’il crée en 2005.
Il joue aux côtés de chefs d’orchestres reconnus tels Karl Richenbacher (Allemagne), Sébastien Billard, Andreas Fellner (Allemagne), Claudio Cohen (Brésil), Gilles Colliard (Suisse), Karine Locatelli, Eduardo Armbatsoumian (Arménie)… et aux côtés de partenaires renommés parmi lesquels Pascal Amoyel, Philippe Bernold, Emmanuelle Bertrand, David Bismuth, Nicolas Dautricourt, Vadim Tchijik, Cihat Askin, Konstantin Manaev, Emanuel Salvador, Florent Héau ou encore Hugo Ticciati.
En 2005, il est invité par le CNSMD de Lyon à fêter les 25 ans de la création du conservatoire en interprétant en public une Sonate de Beethoven mise en regard avec une œuvre contemporaine.
Ces dernières années, France Télévision (France 2 et France 3) ainsi que TLM, viennent filmer plusieurs de ses concerts.
Il est également invité à se produire plusieurs fois en direct sur France Musique, notamment en 2013, aux côtés d’Anne Roumanoff, dans le cadre de la « Journée Eric-Emmanuel Schmitt ».
Pierre-Laurent Boucharlat est directeur artistique du festival Musicales en Tricastin et également directeur artistique de la Saison de concerts et conférences de l’association Ecully Musical.
Il met ses talents aux services des étudiants du CNSMD de Lyon, en accompagnant notamment la classe de Direction de Chœurs du conservatoire, poste qu’il occupe depuis 2007.
Sa discographie comprend plusieurs autres CD dédiés à Beethoven (Sonates), Schumann et Moussorgski (Tableaux d’une Exposition), Liszt (comprenant la Sonate), ou encore « L’âme Slave » (enregistré en prise « live » avec la grande Mezzo-Soprano russe Elena Sommer).
L’enregistrement du Carnaval des Animaux, dans la version enregistrée par France Musique en 2013, est édité aux éditions Albin Michel.
Le corniste et chef d’orchestre Dariusz Mikulski, né en 1973 à Zelow (Pologne), commence ses études musicales à l’Académie de musique de Lodz. En 1994, il poursuit ses études en Allemagne, à l’Académie de musique de Stuttgart et au Mozarteum de Salzbourg. Il étudie également la direction d’orchestre avec le professeur Tomas Ungar Au cours de ses études, il remporte d’importants concours de cors dans son pays et, parallèlement a été plusieurs fois lauréat de concours internationaux, comme par exemple le concours Printemps de Prague, le concours International de cor à Toulon ou le concours international de Neunkirchen.
En tant que corniste, Dariusz Mikulski mène une grande carrière de soliste qui le conduit un peu partout dans le monde. En tant que chef d’orchestre, Dariusz Mikulski a dirigé l’Orchestre symphonique de Berlin, l’Orchestre de chambre de Stuttgart, le Grand Philharmonique de Pologne, l’Orchestre Philharmonique Arthur Rubinstein de Lodz, l’Orchestre Philharmonique de Silésie de Katowice et l’Orchestre Philharmonique de Basse Silésie d’Hirchberg. Dernièrement il a dirigé la production musicale ‘Le roi Louis II’ à Füssen. Plusieurs enregistrements radio et CD témoignent de ses compétences.
Dariusz Mikulski est connu pour être le fondateur et le directeur de l’orchestre symphonique « Big Philharmonie » en Pologne. L’orchestre offre aux jeunes musiciens de nombreux pays une opportunité unique de travailler avec des collègues expérimentés et des grands maîtres. Avec cet orchestre, plus de 30 tournées internationales ont été organisées depuis sa fondation en 2000 et jusqu’à aujourd’hui.
Il est également fondateur et directeur général de « Concorno Cultural Management » à Stuttgart. Concorno est membre de l’association des agences de concerts allemands et collabore avec le consulat général de Pologne à Munich.
Dariusz Mikulski dirige la classe de cor de l’Académie de musique de Lodz, l’Académie internationale Mozart Vienne-Berlin, l’Orchestre Symphonique de Chambre de Pologne, ainsi que le jeune Opera Européen, se trouvant ainsi en charge de nombreux projets importants en Allemagne et à l’étranger.
Aleksandra Gudzio est actuellement l’une des mezzo-sopranos les plus douées et les plus célèbres en Pologne.
Elle a obtenu son diplôme à l’École nationale de musique d’Olsztyn en 2006 et à l’Académie de musique de Poznań (diplôme avec distinction) en 2010.
Au cours de ses études, elle a été lauréate de nombreux concours importants, ainsi le « Concours national polonais pour les étudiants Singer », le » Concours international de chant A. Kucingis à Vilnius », le « Concours Vocal à Mława »,le Concours vocal « Złote GłosyMazowsza », le « Concours international Jan Kiepura », le “ Concours national polonais de chant à l’Académie d’été de Sopot, et très récemment le Prix international « Bellini » à Catane.
Aleksandra Gudzio était boursière du ministère de la Culture de Pologne.
Elle a participé à de nombreuses master-classes sous la direction d’ artistes et de pédagogues les plus célèbres.
Elle est régulièrement invitée dans de nombreux théâtres d’opéra et orchestres renommés. Parmi les plus importants figurent l’Opéra National de Pologne à Varsovie, le Théâtre de la Musique à Poznan, le Philharmonique de Poznan, l’opéra Nova de Bydgoszcz, le Festival de Bach de l’Église de la Paix à Swidnica, l’Orchestre de Chambre Philharmonique de Varsovie, le Philharmonique des Sudètes, Capella Cracoviensis, l’Orchestre Philharmonique de Monte Carlo , Vienna Royal Artist Orchestra …
En janvier 2019, Aleksandra Gudzio s’est produite avec un grand succès en tant que soliste avec l’orchestre royal des artistes de Vienne en Chine. Elle a été saluée avec enthusiasme dans des villes comme Shanghai, Chengdu, Xian.
Clément Lefebvre montre très jeune un vif intérêt pour la musique. A quatre ans il débute le piano, avant de découvrir les percussions. Après l’étude et l’obtention des prix des deux instruments au Conservatoire de Lille, c’est au piano qu’il décide de se consacrer pleinement. Hortense Cartier-Bresson le reçoit dans sa classe au Conservatoire de Boulogne-Billancourt et le prépare au concours d’entrée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Clément Lefebvre intègre la prestigieuse institution en 2010 et se forme alors auprès de Roger Muraro, Isabelle Dubuis, Claire Désert, Pierre-Laurent Aimard, et Alain Planès. Il bénéficie également des master-classes de Philippe Bianconi, Xu Zhong, Michael Lewin, Christian Ivaldi, Emmanuel Strosser ainsi que des membres du trio Wanderer.
Clément Lefebvre remporte en 2016 le premier prix ainsi que le prix du public au concours international de piano James Mottram de Manchester. Il est également lauréat de la Fondation Banque Populaire, de la Fondation Safran, de la Fondation Meyer et du Mécénat Musical Société Générale.
Amené à jouer dans de prestigieuses salles telles que l’espace Flagey de Bruxelles, l’ambassade de France de Dublin, la Philharmonie de Paris, il est accueilli par des festivals comme la folle journée de Nantes, le festival Chopin à Paris, la Roque d’Anthéron, le festival international piano classique de Biarritz, les Pianissimes, le festival Messiaen ou encore le festival Piano en Valois… Il se produit avec orchestre, notamment le Royal Liverpool Philharmonic Orchestra sous la direction de Vasily Petrenko, et l’orchestre de la Garde Républicaine. On l’entend également régulièrement sur les ondes de France Musique et Radio Classique.
Parallèlement à son activité de soliste, Clément Lefebvre est un chambriste recherché et engagé dans de multiples projets : membre fondateur du quatuor avec piano Abegg avec lequel il crée les œuvres Aristophanes on the ground de Pascal Zavaro et It rings a bell de Karol Beffa, il forme un duo deux pianos – quatre mains avec Alexandre Lory. Par ailleurs il partage la scène avec des musiciens tels que Philippe Bernold, Anne Queffélec, Roland Daugareil, Lilian Lefebvre, Shuichi Okada…
En juin 2018, son premier disque solo consacré à Rameau et Couperin paraît sous le label Evidence Classics. Un second enregistrement en sonate avec le violoniste Shuichi Okada, dédié à Brahms et Schumann, sortira prochainement chez le label Mirare.